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Livre à lire de toute urgence pour enfin se désintoxiquer de la propagande arabe et gauchiste:

"Comment le peuple palestinien fut inventé"

de David Horowitz et Guy Millière aux Editions David Reinharc: www.editionsdavidreinharc.fr

ISBN 978-2-35869-032-4

On voit à quel point les médias ont pris le pouvoir pour façonner l'opinion publique sur Israel en appuyant la propagande du terroriste Arafat qui a réussi à faire son chemin dans les esprits en inventant de toutes pièces ce soi-disant peuple. 

 

 

Et aussi cet article de  D. Greenfield:

Déconstruire le mythe de la colonisation israélienne      

Publié le : 30 juillet 2012

Entre 350 000 et 550.000 juifs ont été ciblés de nettoyage ethnique par la communauté internationale. Leur crime est leur race et leur religion.

En 1948, les armées d’Egypte, d’Irak, de Syrie, d’Arabie saoudite, de Jordanie, du Yémen et du Liban ont envahi Israël, avec l’Armée de la guerre sainte, commandée par le neveu du mufti d’Hitler, et l’Armée de libération arabe, dirigée par Fawzi al-Qawuqji, fraîchement libéré par l’Union soviétique après avoir été capturé avec ses alliés nazis à Berlin. Avec eux sont venus des milliers de terroristes et des voyous de la Fraternité musulmane.

Poussé par la haine, ils ont essaimés en Israël pour le détruire. Ils se sont emparés de la moitié de Jérusalem, expulsant sa population juive, faisant sauter ses synagogues et utilisant les pierres tombales de ses cimetières pour paver leurs routes.

Des villages tels que Kfar Darom, dans la bande de Gaza furent assiégés, d’abord par les Frères musulmans, ensuite par l’armée égyptienne. Le village de 400 hommes, femmes et enfants réussit à repousser les forces des Frères musulmans, celles-ci l’ayant bombardé sans toutefois parvenir à franchir sa clôture au moyen des chars, le village résista brièvement à l’armée égyptienne, avant que celui-ci ne soit évacué, capturé et détruit. D’autres villages, comme Kfar Etzion, qui ne furent pas été évacués à temps, assistèrent à des massacres après leur capture.
Quand, après 1967, les envahisseurs jordanien et égyptien furent expulsés, et que Jérusalem-Est, Kfar Darom et Kfar Etzion furent reconstruites et repeuplées, la communauté internationale déclara que les Juifs qui y vivaient étaient des « colons » et que leurs villes et villages, de même que leurs foyers à Jérusalem, une des plus anciennes villes du monde, étaient des «colonies».

Quel est le signe distinctif d’une « colonie » ? Ce n’est ni l’âge des bâtiments, ni même le nombre d’habitants.

 

Jérusalem est ancienne et Maale Adumim est d’environ la taille d’Atlantic City. C’est la race qui pointe un colon comme une cible pour les persécutions et le nettoyage ethnique.

Un arabe musulman ayant la citoyenneté israélienne, qui achète une maison à Jérusalem n’est pas condamné par le vice-président Joe Biden, ou par l’Organisation des Nations Unies et les médias. Mais quand un Juif démolit l’ancienne maison du mufti d’Hitler, après qu’il l’ait achetée en toute légalité pour y construire à la place un immeuble d’habitation, alors Hillary Clinton publie une déclaration spécifique dénonçant la construction d’un immeuble devant loger 20 personnes, sans aucune raison autre que parce que des Juifs vivront probablement là.

Aujourd’hui, le faux récit de la colonisation et de l’occupation a été contestée par le rapport Levy qui reprend bon nombre de points forts au regard de la loi ; le plus important est qu’Israël n’est pas une puissance occupante et ne s’est emparé d’aucune terre d’un autre Etat. En effet une grande partie de la terre qu’Israël est accusé d’occupation est en fait des terres qui ont été saisies par les armées arabes au cours de la Guerre d’Indépendance de 1948.

La seule différence entre Jérusalem-Ouest et Jérusalem-Est, entre un village qui est reconnu par la communauté internationale et une « colonie » qui est condamnée par la communauté internationale, c’est que les soi-disant « colonies » sont sur le territoire que les armées d’invasion musulmane ont capturé et détenu pendant 17 ans.

La seule base légale pour dénoncer les juifs qui sont retournés en 1967 dans les maisons dont ils avaient été expulsés en 1948 en tant que « colons » serait de reconnaitre les conquêtes arabes musulmanes de ces territoires.

Mais ces conquêtes n’ont jamais été reconnues ni acceptées. Pas même par la communauté internationale.

Les réfutations au rapport Levy comptent sur la rhétorique émotionnelle et la confusion du raisonnement juridique. La plupart d’entre elles s’appuient sur la décision de la Cour internationale de justice de 2004, à laquelle Israël n’a pas participé en déclarant que la quatrième Convention de Genève s’applique aux territoires de 1967 parce qu’ils « se trouvaient à l’est de la ligne de démarcation d’armistice de 1949. »

Mais, comme le rapport Levy souligne, l’accord d’armistice qui a mis fin à la guerre a expressément a nié les lignes de cessez-le-feu comme ayant une quelconque signification politique ou territoriale, « étant dictées exclusivement par des considérations militaires. »

La désignation du territoire qu’Israël détenait et où ses citoyens résidaient jusqu’à ce que le territoire ait été conquis par l’invasion des états étrangers avant d’être libérée ensuite par Israël comme « territoire occupé » a besoin d’un meilleur raisonnement juridique que le simple fait de l’occupation militaire arabe. Sans quoi, la CPI (la Cour Pénale Internationale) a seulement choisi de reconnaître une occupation militaire et de l’utiliser ensuite pour dénoncer l’occupation militaire.

Conformément à l’article 2 de la quatrième Convention de Genève ses dispositions engagent seulement des états signataires. Pour appliquer la Convention aux frontières de 1967, la CPI (la Cour Pénale Internationale) a dû traiter à cet effet le territoire comme jordanien, même si de manière contradictoire cela accusait Israël de priver les arabes Palestiniens de la représentation politique. Soit les arabes dans les territoires sont des ressortissants jordaniens, qui sont couverts selon la Convention, ou bien ils sont des ressortissants palestiniens et ne le sont pas.

L’article 4 de la Convention stipule : « Les ressortissants d’un Etat qui n’est pas lié par la Convention ne sont pas protégés par elle ». A moins que la CPI (Cour pénale internationale) puisse montrer que le Fatah et le Hamas sont liés par la Convention, ils ne sont pas protégés par elle. La seule façon que la quatrième Convention de Genève puisse s’appliquer aux territoires est de savoir si les arabes musulmans qui vivent là-bas sont reconnus comme des ressortissants jordaniens. Mais ce serait aussi invalider toute revendication future pour un Etat palestinien.

La stratégie des musulmans voisins d’Israël était de mener une guerre terroriste utilisant des groupes qui ne seraient pas liés par la Convention.

Il est beaucoup trop tard pour prétendre que les terroristes aient été rétroactivement protégés par la IVe Convention de Genève, même s’ils n’ont jamais été liés par elle.

Il est également beaucoup trop tard pour prétendre que les revendications territoriales qu’ils auraient commencé à faire dans les années 1970 ont rétroactivement infirmé les revendications préalables d’Israël dans la région, ou de ses villes et villages reconstruits à un moment où les nationalistes palestiniens affirmaient encore qu’Israël faisait de la Syrie.

Enfin, M. Al-Khasawneh, un des juges de la CPI, dans un conflit d’intérêts flagrant, était un conseiller du roi de Jordanie et est devenu plus tard le premier ministre de Jordanie. Les médias qui attaquent les allégeances politiques des membres du Rapport Levy tendraient à expliquer la présence de M. Al-Khasawneh pour une affaire impliquant des intérêts territoriaux de sa monarchie.

La base juridique pour l’ensemble du mythe des colonies repose sur le traitement des frontières d’un accord de cessez-le-feu comme une délimitation territoriale, plutôt que d’une cessation temporaire de conflit.
Cela n’a aucun fondement juridique. Soit tout Israël est occupé ou bien il ne l’est pas du tout. Soit tous les Israéliens sont des colons ou aucun d’entre eux ne l’est.

La position des musulmans est au moins conforme à cet égard, tandis que les positions de l’Organisation des Nations Unies, des nations occidentales et de la gauche israélienne sont totalement incompatibles.

Les attaques répétées sur l’intégrité territoriale d’Israël ne sont pas seulement malhonnêtes, elles portent la menace implicite et explicite de la purification ethnique.

Après l’Holocauste, l’idée de nettoyage ethnique d’un tiers à un demi-million de Juifs auraient dû être considérées comme inacceptables. Au contraire, il est devenu le mandat d’un système de droit international qui a été créé pour éviter que l’histoire ne se répète, mais qui néanmoins la répète.

Aucun diplomate international, journaliste ou juge ne s’est jamais plaint des arabes israéliens vivant à Jérusalem. Leurs plaintes ont ciblé un seul peuple pour sa race.

Les occupants musulmans ont éliminé les juifs pour leur religion et leur race, et maintenant la communauté internationale insiste pour finir le travail que les armées égyptienne et jordanienne, et les Frères musulmans, avaient commencé à Jérusalem, à Kfar Darom et Kfar Etzion.

Le rapport Levy a publié le raisonnement juridique spécieux utilisé comme une couverture pour cette bigoterie au lit. Il est temps que le reste du monde fasse de même.

Par Daniel Greenfield – JSSNews

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